Boogiepop ne rigole pas, Chapitre 1 : Guerrier Romantique.
Bien, maintenant que la présentation chiante est passée, expliquons plutôt qui est Boogiepop. Où qu’est-il ? Honnêtement, je n’en sais trop rien. Mais si d’aventure, durant la nuit, vous croisez une silhouette encapuchonnée, androgyne, et sifflant “Die Meistersinger von Nürnberg.” de Wagner, alors il est très possible que vous soyez tombé sur lui. Ou sur un cosplayer très motivé.
Boogiepop, c’est une histoire étrange, mêlant horreur et fantastique. Une histoire ou les personnages maîtrisent rarement ce qui se déroule, et font ce qu’ils peuvent pour s’en sortir dans des situations ou la mort est parfois plus qu’une simple menace, et où le sens commun n’a parfois pas lieu d’être, où les narrateurs changent à chaque chapitre, et où les personnages récurrents ne sont souvent qu’en second plan.. Boogiepop lui-même n’est que la personnalité secondaire d’une lycéenne ordinaire.
Oui, je suis hypé par la série. Et pour ceux qui se demandent s’il faut regarder l’ancienne série, Boogiepop Phantom, avant celle-là, la réponse est non. Des extraits présents dans le second trailer, l’animé va adapter les trois premiers tomes des LN, c’est-à-dire “Boogiepop Wa Warawanai” (connue en anglais sous le nom “Boogiepop and Others”) et “Boogiepop Returns: VS Imaginator”. La série de 2000 se rajoutant après le premier tome, elle n’est pas nécessaire et sera même probablement émise par la diégèse de l’animé. Par contre, si vous souhaitez la voir, je vous conseille fortement de lire le premier tome, car elle n’explique rien, ce qui la rend particulièrement cryptique pour un néophyte (et même après avoir lu les tomes, elle reste bien cryptique dans l’ensemble).
Bref, à bientôt (bien vite) pour d’autres articles. Il est probable que je reparle de Boogiepop à l’occasion. J’aime beaucoup cette série. Les images proviennent du site officiel de l'animé. Et un autre passage du premier chapitre, pour le plaisir.
Boogiepop commença à siffler. La mélodie était rapide et enjouée, sa respiration alternant habilement entre rapide et lente, mais c’était un sifflement, alors ça sonnait plutôt triste, d’une manière ou d’un autre.
Je me souvins que Touka ne pouvait pas siffler.
(Une possibilité réprimée... ?)
Même en étant son petit ami, j’imagine que je réprimais certaines parties d’elle.
Cette pensée me pesa fortement.
Il finit de siffler, et j’applaudis. “Tu es doué. Quel morceau c’était ?”
“L’ouverture du premier acte de ‘Die Meistersinger von Numberg."
"De quoi ?"
"Le plus flamboyant des morceaux que ce vieux romantique bruyant de compositeur qu’est Wagner n’a jamais écrit."
"Du classique ? Hun. Je pensais que c’était du rock..."
"Tu aurais préféré ‘Atom Heart Mother ?’ ? J’ai tendance à préférer la vieille musique."
Toutes nos divagations crépusculaires se déroulèrent ainsi. »
Moi je compte le regarder aussi( il claque vraiment fort cet anime).
RépondreSupprimerSinon vous comptez le trad si il n'y a pas d'éditeur sur le coup ?( même si ce n'est pas très probable vu la qualité de la série).
Si il n'y a pas d'éditeur, oui, je compte le trad en m'axant principalement sur la traduction original de la LN (avec les noms écrit dans l'ordre japonais, et les suffixes).
RépondreSupprimerAprès, en effet, il est très peu probable qu'il ne soit pas licencié. Cela reste du Madhouce, et l'animé va être fait par une grande partie des personnes qui ont travaillé sur One Punch Man ou Acca13. Donc, peu probable.
Mais Boogiepop n'est pas si connu que ça en France, surprenamment. Un peu vieux, j'imagine. Déjà que la mélancolie d'Haruhi Suzumiya est de moins en moins connue (ce qui est triste).
Alors là pour le coup y avait 0 chance.... c'est Waka lui même qui a prit la licence XD;)
Supprimer